A330 : Intervention des moyens de l’Ifremer
L'Ifremer a été saisi par Jean-Louis Borloo, ministre d'État, ministre de l'Écologie, de l'Énergie, du Développement durable et de l'Aménagement du territoire, afin de renforcer les moyens mobilisés dans la recherche de l’Airbus A330 disparu lundi 1er juin dans l'océan Atlantique. L'ensemble des opérations est coordonné par l'État-major des armées.
La première phase des opérations effectuées par l'Ifremer, consiste à localiser les boîtes noires de l'Airbus A330. Celles-ci émettent pendant 30 jours à la fréquence de 37,5 kHz avec une portée de 1500 m.D'après les premières estimations, il semble que les boîtes noires reposeraient par plus de 3000 mètres de fond, elles seraient donc indétectables depuis la surface.L'Ifremer et Genavir (armateur gérant des navires de l’Ifremer) possèdent et opèrent un système d'écoute immergeable qui pourrait détecter les signaux émis par les boîtes noires de l'A330. Le système ne peut être déployé qu'à partir d'un navire équipé d'un câble électro-porteur de 6000 mètres et d'un système de réception approprié. Le navire océanographique Pourquoi pas ? remplit ces deux conditions.
Equipé du sous-marin habité Nautile et du robot téléopéré Victor 6000, le Pourquoi pas ? était aux Açores pour débuter une mission scientifique Bathyluck (campagne INSU/CNRS).En coordination avec les autres moyens déployés sur zone, le navire a appareillé hier pour rejoindre la zone concernée d'ici une dizaine de jours.
La deuxième phase concernera l'intervention du sous-marin Nautile dans la récupération des boîtes noires. En effet, pour ce type d’opération, le Nautile, capable d’intervenir jusqu’à 6000 mètres, est l’engin le plus approprié, notamment puisqu’il permet une vision latérale humaine et qu’il est équipé d’un sonar de proximité capable de détecter des signaux jusqu’à 200 mètres sur les côtés.
L'Ifremer a été saisi par Jean-Louis Borloo, ministre d'État, ministre de l'Écologie, de l'Énergie, du Développement durable et de l'Aménagement du territoire, afin de renforcer les moyens mobilisés dans la recherche de l’Airbus A330 disparu lundi 1er juin dans l'océan Atlantique. L'ensemble des opérations est coordonné par l'État-major des armées.
La première phase des opérations effectuées par l'Ifremer, consiste à localiser les boîtes noires de l'Airbus A330. Celles-ci émettent pendant 30 jours à la fréquence de 37,5 kHz avec une portée de 1500 m.D'après les premières estimations, il semble que les boîtes noires reposeraient par plus de 3000 mètres de fond, elles seraient donc indétectables depuis la surface.L'Ifremer et Genavir (armateur gérant des navires de l’Ifremer) possèdent et opèrent un système d'écoute immergeable qui pourrait détecter les signaux émis par les boîtes noires de l'A330. Le système ne peut être déployé qu'à partir d'un navire équipé d'un câble électro-porteur de 6000 mètres et d'un système de réception approprié. Le navire océanographique Pourquoi pas ? remplit ces deux conditions.
Equipé du sous-marin habité Nautile et du robot téléopéré Victor 6000, le Pourquoi pas ? était aux Açores pour débuter une mission scientifique Bathyluck (campagne INSU/CNRS).En coordination avec les autres moyens déployés sur zone, le navire a appareillé hier pour rejoindre la zone concernée d'ici une dizaine de jours.
La deuxième phase concernera l'intervention du sous-marin Nautile dans la récupération des boîtes noires. En effet, pour ce type d’opération, le Nautile, capable d’intervenir jusqu’à 6000 mètres, est l’engin le plus approprié, notamment puisqu’il permet une vision latérale humaine et qu’il est équipé d’un sonar de proximité capable de détecter des signaux jusqu’à 200 mètres sur les côtés.
O instituto propietario do submarino Nautile, o mesmo que traballou nos traballos de selado das fendas do casco do Prestige e na verificación do nivel de petróleo que aínda conservaba dentro, informa na súa web de que o Nautile, transportado dende as Açores, xunto ao robot Víctor 6000, serán os encargados de recuperar as caixas negras do Airbus sinistrado a semana pasada, que poderían estar a uns 3000 metros de profundidade nunha zona submarina do atlántico coñecida como os "Andes submariños". O Nautile ten capacidade para descender a unha profundidade de 6000 metros. Agardemos que teña éxito, de maneira que as causas do accidente do avión non se volvan repetir noutro accidente.
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